Dans ce choeur (Op.88 n°1), Mendelssohn utilise une forme plus évoluée : tandis que les trois premières strophe du poème de Johan Peter Hebel (1760 – 1826) sont mises en musique de la même façon, la quatrième, suivant la courbe ascendante du poème, utilise une musique nouvelle conduisant a un sommet dramatique avant que l’œuvre se termine grâce au rappel consolateur du motif principal.
Mit der Freude zieht der Schmerz Traulich durch die Zeiten, Schwere Stürme, milde Weste, Bange Sorgen, frohe Feste Wandeln sich zur Seiten. Und wo manche Thräne fällt, War´s nicht so im alten Jahr ? Gebe denn, der über uns |
La douleur, avec la joie, Traverse tranquillement les temps. Tempêtes furieuses, douces brises venues de l’ouest, Graves tourments, fêtes joyeuses Avancent côte à côte. Et là où coule une larme, N’était-ce pas ainsi l’an passé ? Que celui, qui au-dessus de nous |