On peu trouver, parmi les œuvres de jeunesses du compositeur, sept chœurs a capella dédiés à son bien-aimé père. Strauss a tout juste 16 ans et utilise déjà un langage très expressif. Il met en œuvre tous les moyens à sa disposition pour peindre l’atmosphère mélancolique du poème d’Adolf Böttger (1816 – 1870)
Trüb blinke, nur die Sterne, wohin das Auge sieht, wenn unser Liebstes fern zur kalten Fremde zieht. Die Herzen, die entbrennen Frühling und Rose küssen |
Les étoiles brillent, tristement, aussi loin que le regard se porte quand notre amour s’en va dans un lointain froid. les coeurs qui s’enflamment amoureusement, Printemps et rose, de s’embrasser |